Et ça repart (sur Mars)
Vous n’avez peut-être pas 100 balles, mais vous êtes 1000 à nous lire !
L’édito de la semaine
Les Courbes grandissent plus vite que nous ne l’avions espéré. Après ce premier mois de notre nouvelle ligne édito, nous sommes maintenant plus de 1000 ! Et ça fait chaud au cœur : merci à vous toutes et tous.
À défaut de pouvoir festoyer ensemble, voici un cliché exclusif de notre rédac‘ chef, littéralement transporté par la joie que lui procure cette annonce :
Un instant suspendu plutôt qu'une vidéo, afin de garder entier le mystère sur son aptitude à enflammer un dancefloor, au moins jusqu’à l'atteinte des 10 000 abonnés. Promis, il ressortira pour l'occasion son habit de lumière déniché chez Róhe, un studio de création amstellodamois. Les sandales, "C'est français !" et c'est de chez Kleman, dont on aura sûrement l'occasion de vous reparler aussi.
Vous l'aurez compris, pas d'outfit cette semaine : l'heure est à la fête chez Les Courbes. En revanche, Doudou a tout de même décidé de vous partager les adresses où chiner la varsity jacket qui accompagnera votre automne, histoire que vous ne restiez pas sur votre faim.
Cette veste universitaire, née aux Etats-Unis en 1865 au sein de l’Ivy League dans le cadre des compétitions sportives (la première aurait fait son apparition à l'occasion d'un match de base-ball d’Harvard), existe sous sa forme contemporaine “Teddy” depuis les années 30. Elle connaît ensuite deux nouvelles révolutions. La première dans les années 60, qui correspond à l’avènement du sport universitaire outre-atlantique et qui la voit prendre une nouvelle dimension, plus globale. Une seconde dans les années 80, alors que Michaël Jackson l’arbore au début du clip de Thriller : la varsity jacket, jusqu’alors symbole des élites, appartient désormais également aux classes populaires qui se l'approprient peu à peu jusque dans la culture hip-hop.
Accessoirement, elle vous permettra de revivre les 90’s et de vous enfiler, libre et rebel.le, une barre chocolatée au coeur du Mexique. Si vous n’avez pas la ref’, on vous laisse savourer cette publicité d’anthologie, relique d’une douce époque (fort heureusement désormais révolue) où les multinationales c’était cool et la malbouffe bourrée d'édulcorants, un non-sujet.
Varsittude x Doudou
Cette semaine j’irai droit au but.
“La brièveté est l’âme de l’esprit.”
– Hamlet, William Shakespeare - 1603
En mode 100% laine made in Portugal
Chez Aries , le prix : 575 €.
D’autres coloris de la broderie sont disponibles et tout aussi beaux.



En mode polyester mais vintage
Dans la boutique Etsy de USAVintageBarcelona, le prix : 245 €.
La boutique regorge de pièces qui attendent une seconde vie : parfait pour pimenter vos styles de mi-saison.



En mode high end et cuir made in Italie
Toujours chez Aries. Le prix : 2450 € (moi aussi j’ai transpiré). Une pièce réservée à celles et ceux qui recherchent l’exception.
Une variante est en vente sur Vinted pour à peine le dixième du prix, à condition de la porter en small. Preuve (malheureusement ?) que la qualité ne justifie jamais à elle seule un prix aussi élevé, sauf à la rigueur sur de la pièce unique, faite main.



Merci à vous de nous rendre ivres (de joie), et puisse cette fête ne faire que commencer. On se retrouve la semaine prochaine, avec la formule habituelle.
Bon week-end !
Pour suivre l’aventure Les Courbes, c’est ici :